Liège goudronnée
D’asphalte, le voile t’a étouffée.
Pourquoi ne dis-tu rien?
Pourquoi ne cries-tu pas
Dans le dernier suffoquement
De tes pavés arrachés rageusement?
Liège goudronnée
Vers d’un 26 octobre, face à l’asphalte brûlante de la rue Feronstrée